Committee Members
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Roberta L. Jamieson
Coprésidente
Roberta L. Jamieson, CM, IPC, LL.B., LL.D. (Hon), Directrice, Conseil d’administration de Deloitte Canada et Chili et BRC, co-présidente du Conseil consultatif autochtone du CN et ancienne présidente et chef de la direction d’Indspire. Roberta Jamieson est une femme mohawk qui a connu une brillante carrière de premières. Elle a été la première femme des Premières Nations à obtenir un diplôme en droit, la première femme ombudsman de l’Ontario et la première femme élue chef des Six Nations du territoire de Grand River. Elle est aussi membre du conseil générale de la Fondation Rideau Hall. À titre de présidente d’Indspire, le principal organisme de bienfaisance dirigé par des Autochtones au Canada, Roberta a supervisé la hausse considérable du nombre de bourses d’étude. Charity Intelligence Canada a désigné Indspire comme étant l’un des 10 organismes de bienfaisance canadiens dont l’impact est le plus considérable, et Macleans et le Financial Post l’ont choisi comme étant l’un des meilleurs organismes de bienfaisance au Canada. Depuis 2004, Indspire a remis un montant record de 153 millions de dollars en bourses d’études à 49 000 étudiant.e.s des Premières Nations, inuit.e.s et métis.sses à travers le Canada. Lors de son passage à Indspire, Roberta a mis sur pied plusieurs initiatives à succès: le premier rassemblement national pour l’éducation autochtone, une conférence unique en son genre qui permet aux éducateurs.trices de se rencontrer et d’en apprendre davantage sur les meilleures pratiques visant à améliorer les résultats scolaires des élèves autochtones de la maternelle à la 12e année; Rivières du succès, qui soutient le mentorat d’étudiant.e.s des Premières Nations, inuit.e.s et métis.sses du palier secondaire, leur permettant de fréquenter des établissements postsecondaires et de trouver un emploi; le Research Knowledge Nest d’Indspire, qui fait la promotion des universitaires autochtones et publie les recherches et les données qui encouragent l’investissement dans l’éducation et l’emploi autochtones; et Teach for Tomorrow, un programme novateur qui forme des centaines d’éducateurs.trices autochtones et les soutient du secondaire à l’emploi. Depuis son départ d’Indspire, Roberta a poursuivi son engagement philanthropique, plus récemment en tant que visionnaire et fondatrice du Projet Prospérité. Depuis longtemps, Roberta est reconnue comme étant une membre efficace et visionnaire des conseils d’administration. Elle est actuellement membre du conseil d’administration de Deloitte Canada et Chili et de la Banque royale du Canada. Elle est également coprésidente du Conseil consultatif autochtone chargé de conseiller le comité et la PDG de la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada sur des questions relatives aux relations du CN avec les communautés autochtones du Canada. À la demande du premier ministre Trudeau, elle a siégé au premier Conseil consultatif sur l’égalité des sexes lors de la présidence canadienne du G7. Roberta Jamieson a reçu 30 diplômes honorifiques, a remporté de nombreux prix et est membre de l’Ordre du Canada.
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Annette Trimbee
Coprésidente
Annette Trimbee jouit d’un parcours professionnel qui l’a fait voyager du bord de l’eau jusqu’au cœur de la ville. Elle apporte un riche bagage d’expérience et de connaissances en tant que dirigeante dans les secteurs public et postsecondaire. Mme Trimbee est actuellement rectrice et vice-chancelière de l’Université MacEwan. Avant d’être embauchée par cet établissement en 2020, elle a été rectrice et vice-chancelière de l’Université de Winnipeg. Après des débuts comme biologiste de la vie aquatique, Mme Trimbee a entamé une brillante carrière de 25 ans au sein du gouvernement de l’Alberta, carrière qui lui a permis de développer une grande expertise dans des disciplines aussi diverses que l’eau, l’énergie et l’environnement, la santé, l’enseignement supérieur et l’innovation, ainsi que les finances. Durant toutes ces années, elle a occupé plusieurs postes de direction, notamment en qualité de sous-ministre des Études supérieures et de la Technologie ainsi qu’auprès du Conseil du Trésor et du ministère des Finances. À l’heure actuelle, Mme Trimbee siège aux conseils d’administration d’Edmonton Global, de La Conversation Canada et de l’Entraide universitaire mondiale du Canada. Elle est également membre du Conseil international du bassin versant de la rivière Rouge, lequel prête main-forte à la Commission mixte internationale pour les questions liées à la gestion de l’eau le long de la frontière canado-américaine. En 2022, Mme Trimbee a reçu le prix Indspire en éducation, la plus haute distinction décernée par la communauté autochtone, pour son engagement à promouvoir l’égalité des Autochtones dans la société et dans l’enseignement supérieur. Universitaire accomplie, elle est titulaire d’un doctorat en écologie de l’Université McMaster et d’une maîtrise en sciences de l’Université du Manitoba, et elle a été boursière postdoctorale à l’Université de l’Alberta.
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Aluki Kotierk
Originaire d’Igloolik et résidant maintenant à Iqaluit avec sa famille, la présidente de Nunavut Tunngavik, Aluki Kotierk, prêche par l’exemple. Tout au long de sa carrière et encore aujourd’hui, Aluki est animée par sa passion pour l’autonomisation des Inuit.e.s et l’amélioration de leurs conditions de vie. Après avoir obtenu une maîtrise en études autochtones et canadiennes à l’Université Trent, Aluki a travaillé pour diverses organisations inuites, notamment Pauktuutit Inuit Women of Canada, Inuit Tapirisat du Canada (maintenant connue sous le nom d’Inuit Tapiriit Kanatami) et Nunavut Sivuniksavut. Elle a également occupé des postes de gestion et de sous-ministre au sein du gouvernement du Nunavut, du Commissariat aux langues et de Nunavut Tunngavik Incorporated. Dans son rôle actuel de présidente, Aluki s’intéresse à la manière dont la langue et la culture inuites peuvent être mieux intégrées dans la conception et la prestation des programmes et des services au Nunavut. Aluki représente actuellement les organisations de peuples autochtones au sein du groupe de travail mondial pour la Décennie internationale des langues autochtones (DILA) 2022-2032 à titre de coprésidente.
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Cameron Adams
Fier membre de la Première Nation Berens River qui relève du Traité no 5 au Manitoba, Cameron Adams est éducateur, étudiant et locuteur de la langue nēhinawēwin (maskegon). Titulaire d’un baccalauréat en arts spécialisé en langues autochtones de l’Université de Winnipeg et d’un baccalauréat en éducation (histoire), il a entrepris l’automne dernier une maîtrise en revitalisation des langues autochtones à l’Université McGill. Il y a tout juste sept ans, M. Adams ne parlait pas un mot de maskegon, mais il a fait preuve de persévérance pour renouer avec la langue de son peuple. Il raconte sans détour comment, par un cheminement identitaire, il s’est réapproprié sa langue et a réalisé des études supérieures en langues autochtones. Prêchant par l’exemple, M. Adams emploie le nēhinawēwin pour communiquer au quotidien. On dit d’ailleurs qu’il est un acteur emblématique de cette nouvelle génération qui revitalise les langues autochtones. Il est régulièrement sollicité pour des conférences, des tables rondes et des présentations dans les domaines de l’éducation, de la linguistique et de la revitalisation des langues autochtones. C’est la difficulté à trouver des ressources pédagogiques sur le maskegon, il y a quelques années, qui a poussé M. Adams à se lancer dans la création de ressources linguistiques en nēhinawēwin. Il a depuis passé trois ans avec des Aînés et des locuteurs de la langue à monter une application (nēhinawēwin) qui présente des mots et des phrases en maskegon. Il travaille aussi à créer un dictionnaire en maskegon, en plus d’étudier les pratiques prometteuses de documentation des langues autochtones. En mai 2024, M. Adams s’est joint à l’équipe de recherche, d’innovation et de partenariats du Bureau du commissaire aux langues autochtones à titre de chercheur universitaire. Dans ses temps libres, M. Adams aime passer du temps avec sa famille au Manitoba, profiter de la nature avec son chien (un golden retriever du nom de Kōna) et voyager.
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David Perley
David Perley a récemment quitté son poste de directeur du Mi’kmaq-Wolastoqey Centre de l’Université du Nouveau-Brunswick. Il est cofondateur du Wolastoq Language and Culture Center situé dans la Première Nation de Tobique, au Nouveau-Brunswick. Perley est titulaire d’un B.A. (Université Saint-Thomas) et d’une M.A. (Université du Nouveau-Brunswick) en sociologie. Il se spécialise dans l’éducation des Autochtones, les études autochtones, les relations raciales et l’analyse des problèmes sociaux. Perley est un ancien chef (1983-1989) et conseiller (2004-2010) de la Nation malécite de Tobique et a agi à titre de consultant auprès de ministères fédéraux et provinciaux : Éducation, Justice, Solliciteur général, Affaires autochtones et du Nord Canada et Services à l’enfance et à la famille. Perley est reconnu pour son travail en matière d’éducation autochtone, de renouveau culturel et de promotion de l’appréciation de l’histoire, des contributions et des droits issus de traités des Abénaquis auprès de la population canadienne en général et de la population du Nouveau-Brunswick en particulier. En juin 2022, il a été nommé à l’Ordre du Canada pour son travail de préservation des enseignements, de la langue et des philosophies wolastoqey, et pour avoir élaboré des programmes d’études pour le système scolaire public et les programmes universitaires.
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Denise Baxter
Denise Baxter occupe le poste de vice-rectrice, initiatives autochtones à l’Université Lakehead depuis 2017. Elle enseigne également au département de la formation autochtone et au département de l’éducation permanente. Elle termine son doctorat en équité et éducation autochtone à l’Université York. Véritable figure de proue dans le milieu de l’éducation, Denise a travaillé dans de multiples contextes au cours des 29 dernières années : conseils scolaires publics, ministère de l’Éducation, Université Lakehead, écoles privées des Premières Nations. Dans chacune des fonctions qu’elle a occupées, elle a développé des capacités et des partenariats avec de nombreux intervenants communautaires. Son engagement auprès de la communauté prend la forme de conférences sur l’éducation, d’ateliers et de pédagogie traditionnelle. Elle siège actuellement aux conseils d’administration de YES Employment et de Children’s Centre Thunder Bay, de même qu’au comité de gouvernance des services de police de Thunder Bay, au conseil scolaire du district de Keewatin Patricia et au comité consultatif provincial sur l’équité, la diversité et l’inclusion. Membre de la Première Nation de Marten Falls, elle estime que la préservation et la pratique des traditions culturelles et des cérémonies lui permettent de rester en contact avec la communauté, les cultures, les traditions et les protocoles autochtones. Elle met tout en œuvre pour établir des réseaux, renforcer les liens avec les communautés et les gouvernements autochtones et développer les capacités des partenaires autochtones, publics et privés, ce qui a permis de soutenir de nombreuses initiatives visant à améliorer les résultats scolaires des élèves autochtones.
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Evelyn Steinhauer
Evelyn Steinhauer est membre de la nation crie de Saddle Lake. Elle est directrice du programme de formation des enseignant.e.s autochtones à la faculté de l’éducation de l’Université de l’Alberta. Elle est également professeure spécialisée dans l’éducation des peuples autochtones au département des politiques éducatives. Elle participe activement à de nombreuses initiatives de recherche communautaires et à divers comités sur le campus et à l’extérieur. Mme Steinhauer a obtenu son doctorat à l’Université de l’Alberta et a publié sa thèse de doctorat intitulée « Parental School Choice in First Nations Communities: Is There Really A Choice? » en 2008. Cette étude aborde le sujet du choix de l’école par les parents dans les réserves des Premières Nations et explore les raisons qui guident ces parents dans leur décision d’envoyer leurs enfants dans des écoles situées hors réserve ou dans une réserve.
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Lois Philipp
Résidente de longue date de Fort Providence, aux Territoires du Nord-Ouest, Lois Philipp se consacre au bien-être des jeunes des Premières Nations de la région du Dehcho. Directrice de l’école primaire et secondaire Deh Gáh, elle s’est dévouée à la tâche d’adapter les programmes et le calendrier scolaires, et ses efforts soutenus se sont traduits par une hausse des taux de fréquentation et une importante augmentation des inscriptions aux établissements d’enseignement postsecondaire. Elle est récipiendaire de nombreuses distinctions : prix du leadership en éducation des Autochtones d’Indspire (2016), directrice d’école remarquable du Canada par le Partenariat en éducation (2013), prix d’excellence de l’Association des parcs et des loisirs des TNO (2011), Prix du bâtisseur de Northern Youth Abroad (2017), et Prix Inspiration Arctique pour le projet Northern Compass (2019). Animée par la volonté de faire progresser l’éducation et le développement communautaire, Mme Philipp est la fondatrice de Northern Loco, une entreprise appartenant entièrement à des Autochtones et dont la mission est de créer un avenir durable pour les communautés nordiques.
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Lorne Gladu
PORTE-PAROLE INVENTIF ET AUDACIEUX REPRÉSENTANT LA COMMUNAUTÉ MÉTISSE Allié indéfectible dans la cause de l’éducation métisse, Lorne Gladu s’est joint à la Nation métisse de l’Alberta en 1996, et incarne depuis sa conviction selon laquelle les changements réels surviennent grâce à l’éducation et à la formation. Ayant fait carrière dans la fonction publique, il a servi la Gendarmerie royale du Canada, la Ville d’Edmonton, Emploi et Développement social Canada, et, enfin, la Nation métisse de l’Alberta, où il continue de montrer son engagement ferme envers l’acquisition continue de savoirs et la défense des droits de la population métisse. Cet homme a eu une grande influence sur l’éducation métisse. Directeur général fondateur du Rupertsland Institute (RLI), il a transformé la vie de milliers de citoyennes et citoyens métis en soutenant l’éducation, la formation et la recherche partout en Alberta. Sous sa gouverne, la Métis Education Foundation (MEF) a créé en 2008 un portefeuille de dotation de 40 millions de dollars distribués à 21 établissements d’enseignement postsecondaire dans la province et a commencé à verser des fonds par le biais des Métis Scholar Awards en 2009. La fondation a aussi mis en place des programmes de dotation gérés à l’interne destinés à soutenir les études en arts, musique, sport et à l’étranger. En 2019, le RLI a conclu un accord de financement sur dix ans de 170 millions de dollars avec le gouvernement fédéral en faveur de la stratégie albertaine d’éducation et de formation pour les Métis, et a commencé, en parallèle, à mettre en œuvre un programme d’enseignement postsecondaire de 88 millions de dollars pour la population métisse de l’Alberta, ainsi que des programmes d’éducation de la petite enfance et de revitalisation des langues métisses. M. Gladu a toujours cherché à combler les lacunes en éducation et à améliorer la formation des Métis pour faciliter leur insertion professionnelle. En 2011, il a collaboré avec l’Université de l’Alberta à la mise en place du Rupertsland Centre for Métis Research, et il a dirigé l’équipe éducative du RLI pour créer le Rupertsland Centre for Teaching and Learning en 2017. M. Gladu a l’éducation métisse à cœur : il fait la promotion des partenariats dans le milieu de l’éducation et s’efforce de transmettre les connaissances fondamentales des Métis aux éducateurs et responsables du système d’éducation de l’Alberta. Diplômé de l’école de commerce de l’Université MacEwan, M. Gladu a vu son idéal et ses contributions à l’éducation et à la formation des Métis être reconnus par Indspire et par trois établissements d’enseignement supérieur qui lui ont décerné des diplômes et des prix honorifiques : doctorat honorifique en droit de l’Université Athabasca (2020); prix Indspire pour l’éducation (2021); doctorat honorifique en droit de l’Université de l’Alberta (2022); et doctorat honorifique de l’Université MacEwan (2023).
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Mark S. Dockstator
Dr Mark S. Dockstator est l’ancien président de l’Université des Premières Nations du Canada. Membre de la nation Oneida de la Tamise, il est actuellement professeur associé à la Chanie Wenjack School for Indigenous Studies de l’Université Trent et directeur de l’Indigenous Knowledge Initiative de l’Université Queens. Il a obtenu son doctorat en droit à la Osgoode Hall Law School de l’Université York, où, en 1994, il a été le premier membre des Premières nations à obtenir un doctorat en droit. Sa thèse de doctorat, intitulée « Toward an Understanding of Aboriginal Self Government », est un mélange de savoirs autochtones et occidentaux et a servi de base au rapport final de la Commission royale sur les peuples autochtones. Dr Dockstator a été président fondateur de l’Institut de statistique des Premières nations, négociateur principal et chercheur pour l’Assemblée des chefs du Manitoba, président et chef de la direction de la Rama Economic Development Corporation, conseiller spécial de la Commission royale sur les peuples autochtones et conseiller spécial du commissaire en chef de la Commission des revendications territoriales des Indiens, entre autres. Il est aussi membre du conseil d’administration de la Fondation Rideau Hall.
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Yvette Arcand
Yvette Arcand est une femme autochtone de la Première Nation Beardy’s et Okemasis dans le centre de la Saskatchewan, au Canada (territoire du Traité n° 6). Selon ses parents et grands-parents, sa voix lui permet de parler au nom de ceux et celles qui n’ont pas la possibilité de s’exprimer, d’assurer la réussite des étudiant.e.s des Premières Nations, de créer des espaces sécuritaires et de partager les enseignements et la vision du monde des Premières Nations. Diplômée du programme de formation des enseignant.e.s autochtones de l’Université de la Saskatchewan, Yvette a travaillé pour sa Première Nation en tant qu’enseignante, et au cours des 24 dernières années, elle a œuvré au service du programme de formation des enseignant.e.s autochtones en tant que conseillère de programme universitaire, directrice associée, chargée de cours à temps partiel, et plus récemment, directrice. C’est là qu’elle a compris l’importance d’amalgamer connaissances occidentales et autochtones dans les cours pratiques.
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Andrea Brazeau
Ancienne membre
Andrea Brazeau est une Inuite qui est née et a grandi dans la petite collectivité inuite de Kangiqsualujjuaq, au Nunavik. Elle a obtenu un diplôme de la faculté d’éducation en enseignement maternel et primaire à l’Université McGill. Elle est depuis retournée dans sa ville natale pour enseigner dans l’école primaire qu’elle a fréquentée lorsqu’elle était jeune. Andrea est la première diplômée universitaire de sa communauté. Elle croit en l’importance d’éduquer les gens sur l’histoire et la culture inuite et estime que l’éducation a le pouvoir de sensibiliser les gens à la culture inuite et de combler le fossé entre les peuples autochtones et non autochtones. Andrea s’est exprimée sur de nombreuses questions allant du changement climatique à la connectivité dans l’Arctique et a également été éducatrice culturelle inuite lors d’expéditions d’Adventure Canada.
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L’honorable Steven Point
Ancien membre
L’honorable Steven Point est deux fois diplômé de l’Université de la Colombie-Britannique et a conservé des liens étroits avec son alma mater après avoir obtenu son baccalauréat en droit en 1985. Point a été directeur du programme d’études juridiques sur les Premières Nations à la Peter A. Allard School of Law de 1991 à 1994. Il a reçu un doctorat honorifique en droit en 2013 pour son engagement exceptionnel dans le domaine du droit, de l’éducation juridique et autochtone et pour son leadership au sein de la communauté autochtone. Outre ses fonctions de 28e lieutenant-gouverneur de la Colombie-Britannique, M. Point a exercé la profession d’avocat, a travaillé à l’Union of British Columbia Indian Chiefs et au ministère de l’Emploi et de l’Immigration, a été juge à la cour provinciale et commissaire en chef de la Commission des traités de la Colombie-Britannique. Point est membre de la Première Nation de Skowkale. Tout au long de sa carrière, il a milité en faveur des Autochtones, faisant pression pour que leurs contributions soient mieux reconnues et qu’ils participent davantage à tous les aspects de la vie en Colombie-Britannique. Point a reçu la Médaille d’or et la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II, l’Ordre de la Colombie-Britannique, le prix Joseph H. Cohen de la Justice Institute of British Columbia Foundation, un Prix national d’excellence décerné aux Autochtones, l’Ordre de Chilliwack ainsi que des doctorats honorifiques en droit de l’Université Fraser Valley et de l’Université Capilano.